Histoire de Glubulbe, de la Koaloutre, et de ses copines Virgnie et Christine

Saillie liminaire

Ou sont les femmes ? Demanda Patrick Juvet. Pas dans mon lit, connard, répondit GSA. Il y'a fort longtemps, Glubulbe découvrit le marécage du net ou les vessies pouvaient se déguiser en lanternes, et passer pour des lumières du fond de leur marécage. Glubulbe, sûr de son bon droit, le fit car ainsi font font font les petits pervers, et sélectionna le doux nom de GSA pour aller écumer un canal plein d'ados libineux.
Libidineux lui même, mais pas que cela, il rencontra de nombreuses gueuses libidineuses, et d'autres merveilleuses plus claissieuses, avec lesquelles il échanga sur les maux du monde, de la terre, de son entrejambe et, là arrive la Koaloutre, prétresse de MakOune. Mais le malheureux Glubulbe, pensant trop à son entrejambe et aux collines qu'il gravissait pas à pas au fond du canal marécageux, arpenta également une montagne, que dis-je, un Everest sans prendre le temps, ni montrer la volonté, la fortitude, et le talent nécessaire à la gravir entièrement. c'était tout Glubulbe à l'époque, ça ! Il le fit avec grossièreté, ce qui était bon, déjanterie, ce qui était encore meilleur... Et parfois aggressivité, frustration, et vulgarité crasse, ce qui en revanche lassa le dit Everest qui un jour se fit glissant à jamais, car tout est question de mesure et de partage, isn't it ?

Vous n'avez rien compris ?! C'est poutant simple, mais normal, je parle au toît d'un monde !

Durant 2 ans et demi donc, le brave Glubulbe, Glubu pour certaines intimes, arpenta régulièrement, puis moins régulièrement les cotaux de cet Everest. Il y découvrit des paysages psychédéliques, une végétation aussi tordue que luxuriante, et une faune absolument délirante. Y fit des haltes déjantées peuplées de chromosomes en désérrance, de baignoires pleines de crasse, d'obscurs concepts grecquo-romano-cathin-lato (où le vice se versa), et de tant de choses encore que je garde planquées histoire d'être bien sûr de ne pas me tromper le cas échéant. Toute quête a son trou du cul, il convient de serrer les fesses !
Bref, si je puis dire, il en profita grandement, s'y laissa aller largement, mais jamais ne pu sublimer ce qu'il y avait découvert car c'était encore un homme de collines et de montagnettes, qui dans le fond complexait devant cet Everest là et préfèra ne pas franchement s'y attaquer, car il sentait qu'elle se refuserait à lui deslors qu'il commencerait à viser son sommet. Et en plus Christine et Virginie semblaient s'en battre les couilles de leur bonheur, et n'aidaient en rien. Perdus dans ce délire, allions nous tous ensemble de l'avant ? J'ai jamais vraiment su et j'ai pas été observateur, merde ! Garces... Vous suivez toujours ? Non ? Tant mieux, c'est pas pour vous !

Pourquoi Glubulbe ne put la gravir.

Je l'ai déjà dit, mais je vais développer couché ! Etait-ce un l'instinct d'inaccessibilité, de la peur, du conservatisme, une loyauté mal placée pour ses collines, une complicité quasi-amicale avec cet Everest qui lui fit renoncer à la gravir (la montagne, merde !)) ? Ou l'indifférence des 2 autres..; Probablement un peu de tout cela. Respecter ce qu'il avait déjà conquis, mais en jetant des déchets au sol pour ne pas le montrer. Se compromettre parfois violemment pour masquer sa frustration. De tout celà aussi. La le mec il a merdé, plus de corde, plus de camp, que dalle. Et la tempète de neige vint et les ensevelis (lui et les 2 garces, la Koaloutre s'en foutait bien...). Continuez de suivre, hein ?!

Les regrets de Glubulbe

Durant les années qui suivirent, Glubulbe repensa parfois à la montagne et aux gonzesses. Un silence se faisait en lui, tel le bruit de la bile ruisselant dans le vente d'une vâche morte, car il se rappelait combien elle était haute (pas la vâche... la montagne !). Combien Christine et Virgnie, si bien nommées quand on les connait un peu ou qu'on les lit avec attention... Semblaient hors d'atteinte, au sein de cette forêt plus vraiment luxurieuse et ensorcelante comme elle fur jadis. Et il oubliait de suite, car même pour Glubulbe, le déni devenait le seul recours devant l'ampleur de son échec à appuyer sur les bons boutons de l'ascenceur social afin que la montagne devienne une res-publica entre toutes les parties en présence. abrakhadabrha ! Parler de sa baguette n'y changa rien, et ainsi furent les ténèbres, et la déconfiture du fruit défendu !

Bon, soyions sérieux un peu, et plongeons tel un dauphin rieur dans le mélo d'un selfie de plage

Narcisse Glubulbe is back !

Et puis Glubulbe remis de l'ordre en lui, loin de ce souvenir. Et un jour, le 28 avril 2017, lorsque l'ordre était rétabli et que le rêve qui l'avait approche de la montagne commencait à prendre réalité en son être réel, il y repensa. A cet instant, Glubulbe se dit qu'il aurait du gravir cette montagne, car c'est ce qu'il ferait aujourd'hui. Et si à l'époque il en suintait légèrement le potentiel sans en avoir l'étoffe ou la capacité, aujourd'hui il avait enfin mis en cohérence sa voie et ses aspirations. Aujourd'hui il la gravirait probablement afin de s'y établir si la Koaloutre l'y autorisait. Si la montagne était toujours là, si ses pretresses de MakOune y étaient toujours, si elles n'étaient pas partie pour de bon s'engager dans la vie qui suit. Celle qui met un terme à l'insouciance de la jeunesse.

La proclamation de Glubulbe

Maintenant que Glubulbe a retrouvé ses esprits, et a le courage de dire les choses, il proclame ce 29 avril 2017 la chose suivante : De tous les pays que j'ai parcouru, je n'ai vu que collines, et quelques montagnes oui. J'ai eu la chance de les gravir, certaines jusqu'à leur sommet. Mais en étant honnête, aucune ne peut se comparer à la montagne de la Koaloutre, gardée par Virginie et Christine. Je l'ai clairement ressenti à l'époque, et je le ressens de nouveau aujourd'hui. Cette Montagne, toute chose considérée, avait en elle lorsque je l'ai arpenté de quoi devenir ma Jerusalem...

Espoirs et épilogue

Si la montagne m'entend, qu'elle me réponde si elle le souhaite, et passe le massage aux deux dindes. Je suis prêt à l'écouter et à lui répondre, et à les prendre en consultation. Je ne sais pas si j'en ai réellement vu le sommet, celui que je n'ai pu gravir. Mais mon instinct le présent... Et ce que l'instinct préssent... Mais j'aimerais bien y revenir et le gravir (bon dieu je tourne en rond !), je suis bien mieux armé qu'autrefois face à la finance... Et je n'ai rien perdu du reste, même si je ne peux l'exprimer ici. Que sa majesté la Koaloutre me pardonne d'avoir été un si médiocre alpiniste, et qu'elle ramène les 2 gonzesses à bon port...

abrakhadabrha !

Question de référencement, je devais le placer en titre H2 celui là. Donc, qui sait montagne... Reviendras tu peut-être. Et si tu ne reviens pas, alors je te souhaite de continuer à t'élever jusqu'à la fin des temps. abrakhadabrha ! (Puis qu'on a le H2, il faut un include, question de cohérence..;) Et que la lumière soit ! Gloire à la loutre ! Au plus haut des cieux !!!!

Glubulbe, le référenceur de l'incompréhensible

En clair

Vous me manquez, Koaloutre des loutres comme Cléopatre fut Reine des reines, et je le réalise à un tournant de ma vie, celui de la trentaine bien passée. Cette bouteille à la mer est un acte de Foi, délire ou pas, qui est rendu nécessaire car je n'ai pas la carte complète pour retrouver l'emplacement de ton île tant d'années après l'avoir perdu de vue... abrakhadabrha ! Ca ne marche plus, mais fly, baby, fly ! Boom to your target and Rang it back to me ! (ok c naze) Then go to the root of the web to find out who's who and the truth ! (captain obvious, je sais) Je suis désolé d'avoir dit n'importe quoi, même au détour de petites perches, et parce que je n'ai su nous sortir de la dérision, de ne pas t'avoir dit straightfowardly que je te kiffais vraiment et que j'aurais vraiment aimé te rencontrer, pour qu'on voit si il y'avait matière à aller quelque part... J'espère qu'il n'est pas trop tard.